Du boeuf Wagyu fabriqué en Bretagne
Sébastien et Masami Chérel, installés en Ille-et-Vilaine, ont été les premiers à croire en la race de Wagyu. Autour de la marque Miyabi, ils ont monté une filière avec d’autres éleveurs, alliant la tradition japonaise et le savoir-faire français. Ensemble, ils commercialisent leur viande dans les meilleures tables du pays.
A Vant de en 2009 l’Reprendre l’ exploitation familiale à Brielles en Ille-et-Vilaine (35), Sébastien Chérel , fils BTS Productions Animales en poche, d’aller voir en décident du payeur et pose SES VALISES en scène de verser Australie fils faire 6 mois Il travaille dans les élevages laitiers et rencontre sa femme, Masami. Avec elle, il continue son voyage vers le Japon , son pays d’origine et se confronte à d’autres modes de production laitière . «J’ai passé plusieurs mois dans une ferme d’un hectare et 300 vaches, se souvient-il. Toute l’alimentation arrive par conteneur des États-Unis ou d’Australie ». Le futur also la éleveur découvre et le gastronomie japonaise fameux bœuf de Kobé , à la viande persillée si Renommée.
Sébastien, Masami et leurs enfants ont ensuite décidé de se diriger vers la Nouvelle-Zélande . Enrichis de ces huit années d’expériences à l’étranger, on a décidé de revenir en France pour une vie de famille plus stable. Après le départ en retraite de son père, Sébastien s’installe le 1er mai 2009 sur l’élevage de limousines allaitantes et l’atelier porcin naisseur-engraisseur de 120 authentiques. Mais, dans sa tête, c’était déjà l’idée géniale des Wagyu , la race japonaise à l’origine du bœuf de Kobé et sa viande au goût inimitable. Un projet innovant et atypique dans ce bassin laitier, intégrant par la même occasion la culture de son épouse. «Si le boeuf Wagyu était déjà consommé dans les restaurants français haut de gamme, tout était importé. Pour l’auteur de la chanson française, il fallait bâtir une filière », retracez Sébastien Chérel avec Masami, se lancer dans ce défi.
AUCUN WAGYU VENDU VIVANT À L’EXTÉRIEUR DU JAPON
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